de la COUR de BALLEROY
jeudi 19 avril 2007 Par Sophie DEMEAUTIS, dans Monographie Familiale -# 22
Chevaliers. Seigneurs de Balleroy, d’Ingreville, de Maltot, de Val-d’Orne, du Buisson. Basse-Normandie, Ancienne Extraction 1403. Marquis de Balleroy en 1704. Famille admise aux Honneurs de la Cour en 1753, 1783 et 1784. Famille maintenue Noble lors des Recherches de Noblesse par Monfault en 1463, et par Chamillart en 1666 dans la Généralité de Caen.
de
Chevaliers.
Seigneurs de Balleroy, d’Ingreville, de Maltot, de Val-d’Orne, du
Buisson.
Basse-Normandie, Ancienne Extraction 1403.
Marquis de Balleroy en 1704.
Famille admise aux Honneurs de
Famille maintenue Noble lors des Recherches de
Noblesse par Monfault en 1463, et par Chamilîart en 1666 dans
Famille maintenue Noble par l'Intendant Bernard de
Marle suivant l'édit du 22 mars 1666
dans
Preuves de noblesse pour les Pages de
Famille éteinte.
Armes :
d’azur, à trois cœurs d’or, 2 en chef et 1 en pointe [1].
Devise : Honeur y gist
Alliances :
de
Héricy, de
________________________
Jacques Claude Augustin de
Marquis de Balleroy.
Généalogie
de
la Maison
de
la COUR
Généalogie de
Par un acte consigné sur le registre de
Ainsi, la généalogie des …, Marquis de Balleroy ne peut être établie sur Preuves qu’à partir de ce Jean du FOUR ou DUFOUR (les deux orthographes se rencontrent), mais sans posséder les Titres originaux, nous pouvons remonter bien plus avant dans le temps.
De fait, le nom de du FOUR apparaît
bien antérieurement en Normandie et la première mention que l’on ait dans un
acte est de 1138, date de la rédaction de
Dans le même texte, il est indiqué
que Guillaume est Maître de
En fait, l’Abbaye d’Ardennes fut exclusivement une fondation d’Ayulphe et de ses fils, ainsi qu’il est clairement dit dans une Charte de 1144 « ……… »
Guérin était fils aîné d’Ayulphe, dans une Charte du 6 juin 1180 qui récapitule en prologue les lègues précédents.
Ayulphe du FOUR ne se contente pas
de ses libéralités premières, qui remontent à 1121 et, toujours par
Mais qu’étaient devenus Guérin et
Gaultier ? Nous avons vu les Fiefs de leurs frères et rien pour eux.
Par
On apprend encore, toujours par
Cette
analyse des Titres originaux de l’Abbaye d’Ardennes nous prouve donc que, dés
les débuts du XIIe siècle, il y avait des du FOUR qualifiés
« Nobles Hommes » et suffisamment puissants pour fonder une Abbaye à
Maltot. Or, au XIVe siècle, où commence la filiation prouvée de
Des documents aimablement communiqués par les actuels représentants de cette Maison nous ont permis d’établir une filiation depuis Ayulphe du FOUR jusqu’à Jean du FOUR. Comme il est dit plus haut, les Titres originaux ont disparu et il est par conséquent difficile de découvrir les branches collatérales.
Avant
d’étudier cette généalogie « prouvée » de
Ayulphe du FOUR a eu de son union avec Asseline quatre fils : Guérin, Colard, Gaultier et Guillaume. Guérin et Gaultier se firent Moines en l’Abbaye d’Ardennes, Guillaume, Seigneur de Baron eut deux fils Paul et Guillaume dont la descendance est inconnue. Par contre, pour Colard, il est possible de la reconstituer comme suit :
Colard du FOUR, Seigneur d’Hermanville,
Guillaume,
qualifié Chevalier, fut à
N… du FOUR, dont on ne sait, sinon qu’il est père de
Danot ou
Davot ou Danet du FOUR, qualifié Chevalier, Seigneur de
Jean du FOUR, à partir duquel commence la filiation suivie.
Ancienne
Famille de
I.
– Danot, Seigneur de
II. – Jean du FOUR (alias DUFOUR) est nommé dans acte Royal de 1360, portant sur des Lettres de rémission accordées à Jean du FOUR, Chevalier, marié à N…, dont au moins un fils :
III.
– Marot du FOUR est mentionné dans des actes passés devant les
Tabellions de Caen les 15 octobre 1403, 24 janvier 1411 et 3 janvier 1413. Il y
est qualifié Chevalier et indiqué comme Seigneur et possesseur du Fief Noble et
Seigneurie du Maltot (contrat du 3 janvier 1413). Il fut présent à
Il
fut marié à Noëlle de
1. – Gabriel de
2. – Philippine du FOUR, mariée à Pierre de CROISILLES,
Seigneur de Caumont, près Thury. Il est fait état de cette union dans un acte
du 13 octobre 1438 ainsi que dans deux actes de leur neveu Guillaume du FOUR de
3. – Gravette du FOUR, mariée en premières noces à Richard
de
IV. – Gabriel
de
De cette union sont issus :
1. – Guillaume du FOUR,
cité dans les actes du 13 mars 1479, 25 février 1482 et 12 juillet 1484 ;
il y est qualifié Prêtre et prend le nom de
2. – Guillaume de
V. – Guillaume
de
1. – Jean de
2. – Pierre de
3. – Guillaume de
4. – Thomas de
5. – François de
6. – Rolland de
7. – Françoise de
VI. – Jean de
1. – Jean de
2. – Guillaume de
3. – Barbe de
VII. – Guillaume de
1. – Michel de
2. – Robert de
3. – Louis de
VII. – Michel de
1. – Rolland-Louis de
2. – Guillaume de
Ainsi s’éteint la branche aînée de cette Maison.
____________________________________
Branche des Seigneurs du Buisson, d’où
sont issus les Marquis de
V. – Pierre de
Par contrat du 20
janvier 1537, il épouse Germaine de
Par acte du 6 janvier
1526, il acheta à ses frères Guillaume, François et Rolland de
De cette union sont issus :
1. – Jean de
2. – Blaise de
3. – Louis de
4. – Gabriel de
5. – Suzanne de
6. – Anne de
7. – Jeanne de
VI. – Jean de
Il avait épousé en premières noces, par contrat du 23 mai 1584 Jeanne HERAULT [26], Dame de Plomb (veuve en premières noces de Robert le DOULCET, Escuier, Seigneur de Pont-Escoullant), fille de Nicolas, Seigneur de Saint-Jean-du-Corail près Avranches, du Domaine, du Mothay et de Plomb, et de Nicole du HOMME [27] ; puis en secondes noces Charlotte d’ACHE (d’Aché), fille de Jean, Escuier, Seigneur de Cerquigny [28], et de Renée le CONTE de NONANT. Dont sont issus :
Du premier lit :
1. – Louis de
2. – Rolland de
3. – Jean de
4. – Marie de
5. – Barbe de
Du second lit :
6. – Marguerite de
7. – Magdeleine de
VII. – Louis de
Il a épousé par Contrat du 25 janvier 1610 Catherine MOREL [32], fille de Pierre, Seigneur de Garcelles et de Manneville, et de Perrette BIGOT. Dont sont issus :
1. – Pierre de
11. – Marie de
2. – Thomas de
3. – Françoise de
4. – Catherine de
5. – Louise de
VIII. – Thomas de
Il avait épousé par Contrat du 24 avril 1665 Marie de FUSEE (Fusée), fille de Guillaume [38], Chevalier, Seigneur de Chaumont, et de Louise de CUGNAC d’IMONVILLE. Dont un seul enfant :
IX. – Jacques de
Jacques de
Il avait épousé par contrat du 8 mars 1693 Charlotte-Madeleine-Emilie le FEVRE de CAUMARTIN [41], « une femme qui fut belle, au dire de tous ses comtemporains, qui resta toujours fine et spirituelle » [42],
Louis le Fèvre de Caumartin
morte le 5 mai 1745, fille de Louis-François, Seigneur de Caumartin [43], Conseiller d’Etat, et de Catherine-Madeleine de VERTHAMON (T) [44], sa seconde épouse. Dont :
1. – Jacques-Claude-Augustin
de
2. – Louis-Jacques de
X. – Jacques-Claude-Augustin
de
Monsieur de BALLEROY s’occupa beaucoup de lui, et il lui procura de bonne heure un Régiment de Dragons de son nom, dont il fut le Colonel en mai 1714 [46].
Reçu Chevalier de
l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis en 1715, Mestre de Camp réformé à la
suite du Régiment d’Orléans-Dragons ne 1718. Son Régiment ayant été réformé
depuis plusieurs années, il entra troisième Enseigne de
Il est mort en son château de Balleroy le 21 février 1773 [47].
Il fut question d’un
mariage avec Mademoiselle de BOISSY, sa cousine germaine, dont le père (frère
de Madame de Balleroy) proposait
Au moment où M. de BOISSY faisait ses ouvertures, BALLEROY écrivait à sa femme pour le mariage MATIGNON : « Il n’y plus qu’un pas à faire jusqu’au bénitier. »
Il épouse par contrat du
2 juin 1720 [48] Marie-Élisabeth GOYON de MATIGNON, née en 1696 et décédée le 13 mars 1745, avec
Devenu Marquis de BALLEROY, Jacques-Augustin habita Paris et s’y lia avec les beaux esprits du temps, patronné par son cousin d’ARGENSON, l’auteur des Mémoires.
Ils auront huit enfants [52] :
1. – Charles-Auguste de
2. – N… de
3. – Louis-Augustin de
4. – Jean-François-Paul-Henry de
5. – François-Auguste de
6. – Elisabeth-Louise-Eléonore de
7. – Louise-Jacqueline, alias Aimée-Louise de
8. – Aimée-Louise alias Louise-Jacqueline de
XI. – Charles-Auguste
de
Il fut guillotiné le 26 (ou 23) mars 1794, le même jour que son frère François-Auguste, comme lui victime de la terreur révolutionnaire.
Il avait
épousé le 22 janvier 1752 (le contrat est signé par le Roy le 18 juin)
Adélaïde-Elisabeth-Sophie de l’ESPINEAU (veuve le 22 juin 1738 de Gabriel-Jean
de PLEURRE [60],
Intendant de
Ils eurent pour enfants :
1. – Thaïs-Augustine-Pauline-Marie-Louise de
2. – Thaïs-Pauline-Simone de
3. – Philippe-Auguste-Jacques de
XII. – Philippe-Auguste-Jacques
de
Il épouse
en premières noces en 1784 Elisabeth-Jacquesline MAIGNARD de
Branche des Seigneurs du Maltot et d’Auval
VII. – Jean de
1. – Louis de
2. – Rolland de
3. – Jeanne de
4. 5. 6. – Trois filles Religieuses, citées dans l’Arrêt de 1693 sans que leur prénom soit indiqué.
VIII. – Louis de
Il a épouse par contrat du 20 octobre 1663, la cérémonie le 8 suivant, Marguerite PAJOT, fille de Claude, Escuier, et d’Isabelle SONNART, dont :
1. – Jean-Rolland de
2. – Pierre-Louis de
3. – Magdeleine-Marguerite
de
4. – Françoise-Emilie
de
5. – François-Gabriel
de
6. – Antoine de
7. – Marie-Jeanne de
8. – François-Joseph
de
9. – Marie-Anne de
10. –
Catherine-Louise de
IX. – Antoine de
1. –
Louise-Geneviève-Antoinette de
Branche des Seigneurs de Vauxdorne [74]
VI. – Blaise de
1. – Jean de
2. – Pierre de
3. – Jeanne de
VII. – Pierre de
1. – Charles de
2. – Jean-Louis de
3. – Guillaume de
4. – Timoléon de
41. – Timoléon de
42. – Jacques de
VIII. – Charles de
1. – Alexandre de
2. – Marguerite de
21. – Gilles de CHEUX, Escuier, marié le 24 avril 1749, paroisse Saint-Jean à Caen, avec Marie-Charlotte-Esther d’ANTIGNATE, fille de Jean-Paul, et de Marie-Magdeleine de BOUTEROSIS, en présence de Gabriel de Cheux (père), François-Gabriel de Cheux (frère), Jean-Jacques d’Antignate, Escuier, Sieur de Courlon et de Jean-Jacques-François Gohier, Escuier, Seigneur et Patron de Coulmaine (beau-frère, époux de Marie-Jacqueline d’Antignate de Courlon) ;
22. – François-Gabriel de CHEUX.
IX. – Alexandre de
Branche des Seigneurs d’Ingreville
V. – Rolland de
1. – Jean de
2. – Marie de
VI. – Jean de
1. – Jean de
2. – Marc-Antoine de
3. – Auguste de
4. – Annibal, qui suivra après son frère ;
5. – Elisabeth de
6. – Julienne de
VII. – Auguste de
1. – Jean-François de
2. – Jean de
3. – Auguste de
4. – Elisabeth de
5. – Julienne de
VII. – Annibal de
Il avait épousé par
contrat du 14 avril 1638 Marguerite de VERNAY, fille de Raphaël, Escuier,
Seigneur de
De cette union sont issus :
1. – Jean de
2. – Auguste-Raphaël
de
3. – Anne de
4. – Marguerite de
5. – Marie-Eléonore
de
VIII. – Jean de
1. – Raphaël-Augustin de
2. – Anne-Geneviève de
3. – Marie-Magdeleine
de
IX. – Raphaël-Augustin
de
Du premier lit :
1. – Raphaël-Auguste de
2. – N. de
X. – Raphaël-Auguste
de
1. –
Marie-Louise-Jacqueline de
2 et 3. – Marie-Augustine et Marie-Louise de
4. – Ambroise de
5. –
Jacques-Raphaël-François de
6. –
Louise-Gabrielle-Catherine de
XI. – Ambroise de
1. – Ambroise-Auguste-Raphaël de
XII. –
Ambroise-Auguste-Raphaël de
SOURCES :
· Héraldique et Généalogie 1983, n° 142, article de J. L. Bort « Généalogie
de
· Annuaire de
· « Les comptes de Monsieur de Balleroy », ANF année ? ;
· « Les correspondants de
· Le Père Anselme « Histoire
généalogique et chronologique de
· « Mémoires et journal du Marquis d’Argenson, Ministre des Affaires étrangères sous Sa Majesté le Roy Louis XV », par le Marquis d’Argenson ;
· BMS de Maltot et Balleroy.
Notice rédigée par Monsieur Jérôme BOUCLIER, mars 2007.
[1] Le Nouveau Nobiliaire de France donne pour armes à la branche des Seigneurs de Maltot : d'azur à 3 coeurs d'or; à la bordure cousue de gueules chargée de 8 croissants de ?, posés 2, 2, 2 et 2.
[2] Contrairement à ce que dit l’auteur, « ces Lettres de
rémission là ne sont pas du type courant : collectives, elles ont, pour
[3] Ordre fondé par Saint Norbert de Xanten (1080-1134), soumis à la règle de Saint Augustin. Le nom Prémontré vient de l’Abbaye du même nom dans l’Aisne.
[9] Il s’agit plutôt de « Haut-Quesnay » (note de Madame de Brébisson).
[10] Mentionné dans les actes des 12 juillet 1484, 8 février 1489, 30 janvier 1508, 6 mars 1513 et 10 février 1517.
[11] « Magdeleine Le SEUR, fille de Noël, Escuier,
Seigneur de Cambres ». Ne serait-ce pas Le SUEUR ? En effet, Frondeville
dans « Les Présidents du Parlement de Normandie », tome I, page 553,
cite Guillaume de
[12] Le 21 juin 1666, Jean BAUQUET, Escuier, Prestre Curé de Moon assiste au mariage de Honorable Homme Jacques le VIEUX et Honneste Fille Avoye DRUAUD en ladite paroisse. (Sources : archives départementales de Saint-Lô, réf : 5E 13. 204 f° 220)
[13] Ainsi qu’au Rôle du Ban et Arrière-Ban de Caen en 1552 (note de Madame de Brébisson).
[14] Il cotise en 1552, ainsi que son frère Jean, chacun pour la moitié du Fief de Maltot, pour une Vavassorie relevant du Fief que tiennent les FRESNEL (note de Madame de Brébisson).
[15] « Marguerite Le BOURGEOIS de BENEAUVILLE, dont
postérité qui a donné Chevalier de Saint-Jean de Jérusalem en 1645 » Annuaire de
[16] Veuve, Marie de PARFOURU épouse en secondes noces Jean III
du VERNAY, Seigneur de
Marie a un frère, Louis de PARFOURU qui épouse Marie de BOURGUEVILLE, Dame de Tilly-la-Campagne.
[17] Fille de Guillaume et de Jeanne de Betheville (Histoire de
[18] Les témoins sont Loys de Vauville d’Orval (l’ayeule
paternelle d’Anne est Jehanne de Vauville) ; Guillaume de Baudre, Sieur de
Soubresseau ; Michel d’Arclais, Sieur de Montamy ; Jehan de
Bertram ?, Sieur de Saint-Ouen ; M. Le Carpentier, Sieur de
[19] Fille de Gabriel, Sieur de Sainte-Marie l’Aumont, et
d’Anne de
[20] Il est aussi Seigneur de Blandit.
[21] Veuve en 1566 (Annuaire de
[22] L’Abbé Beziers lui donne deux épouses, Demoiselle Catherine LECORDIER, fille de Jean, Seigneur de Malherpierre (alias Malherbière) en premières noces, puis en secondes noces, Jeanne de MISSY, fille de Jean, Seigneur de Missy et de Lalonde, et de Jacqueline de CALIGNY, sans dire desquels de ses 14 enfants elles sont les mères.
[23] Notes de Madame de Brébisson.
[24] Seigneur de Blandouit, cité dans un partage de 1566 avec
ses frères et sœurs (Annuaire de
[25] Adjudication devant
Jean de
[26] Epousa à Condé-sur-Noireau, le 23 mai 1587, Jeanne
CHERAULT (Annuaire de
[27] Mariée le 8 novembre 1545, fille d’André du HOMME,
Seigneur de Mesnildrey, de Pentille et de Saligny, et de N… (cf. mes quartiers
normands, renseignements fournis par Mademoiselle Chantal Hérault de
[28] Jean d’ACHE, Escuier, Seigneur de Serquigny et de Marboeuf, fils de Charles et de Dame Marguerite de VASSY (Chamillart, notice d’Aché).
[29] Seigneur du Mont, qui partage en 1611 avec ses frères la
succession de leur père (Annuaire de
[30] Le 11 septembre 1613 (Annuaire de
[31] Le 10 mars 1636 (id).
[32] En 1631, on trouve Jacques MOREL, Escuier, Seigneur de
Manneville, Trésorier Général des Finances de
[33] Maintenu dans sa Noblesse avec son frère le 3 janvier
1667, par jugement de M. Chamillart (Annuaire de
[34] Son prénom change en fonction des auteurs. Madeleine ou
Charlotte ou Catherine ou comme ici Marie. Par contre
[35] Woëlmont le nomme Alexandre.
[36] Fille de Robert le TELLIER, Escuier, Sieur de
[37] Chevalier de
Saint-Jean de Jérusalem le 7 avril 1646 (Annuaire de
[38] Seigneur de Clermont et d’Herbouville (Annuaire de
[39] Terres et Seigneuries du Tronquay, du Vernay
et de Balleroy (Annuaire de
[40] Dans les Lettres, il est dit « Nous octroyons
cette faveur à Notre bien-aimé Jacques de
[41] Arrière-petite-fille de Louis le FEVRE, Seigneur de Caumartin et de Boissy-le-Châte, Président du Parlement de Paris et Garde des Sceaux du Roy Louis XIII du 23 septembre 1622 au 21 janvier 1623, et petite-fille de Madeleine de CHOISY.
[42] « Les correspondances de
[43] Seigneur de Poissy (Annuaire de
[44] Née en 1650, décédée le 28 octobre 1722 à Paris, fille de
François, Conseiller d’Etat, et de Marie BOUCHER d’ORSAY.
[45] Cabinet des Titres. – V. 8.
[46] Il fut également Major du Régiment d’Armenonville
(« Les correspondants de
[47] Recueil de tous les membres composant l’Ordre Royal et Militaire de Saint-Louis, Chevaliers, Commandeurs et Grands-croix. L. J. Bort semble commettre une erreur en datant sa mort le 24 janvier 1738.
[48] Magny, tome II, page 599 parle du 9 juin 1720, comme
l’Annuaire de
[49] Magny tome II, page 599.
[50] Titre donné dans des actes des BMS de Balleroy.
[51] Tante de
[52] Six enfants d’après « Les correspondants de
[53] Le 22 novembre 1724 (Annuaire de
[54] Marie-Véronique de PENFENTENIO, remariée à son beau-frère. Jean-Baptiste-Paul-François-Henri, Brigadier des Armées du Roy, né à Paris le 25 février 1726, mort le 23 mars 1794 sur l’échafaud révolutionnaire, marié à sa belle-sœur, Marie-Véronqie de PENFENTENIO (id).
[55] Le 29 mars 1727 à Paris (Séquestres révolutionnaires T 243).
[56] Anne-Simon PIERRON de CHAMOUSET, Seigneur de
Saint-Thibault, Maître des Requêtes, fils de Martial, Conseiller du Roy, et de
N… BERTHELOT de BELLOY. Les
témoins du mariage sont Charles-Auguste de
[57] Baptisé à Balleroy le 21 juillet 1721, nommé par
Charles-Auguste de MATIGNON, Comte de Gacé, Baron de Briquebec, et
Madeleine-Charlotte-Emilie le FEVRE de CAUMARTIN, Marquise de
[58] Maréchal de Camp le 1er mai 1758 ;
Lieutenant Général le 25 juillet 1762 (Annuaire de
[59] « Francs-maçons parisiens du grand orient de France (fin du XVIIIe siècle) » par Alain le Bihan.
[60] Gabriel-Jean-Honoré de PLEURRE, Seigneur de Romilly, né le
2 mars 1712, Conseiller au Parlement de Paris en 1733, Maître des Requêtes en
1741, Président au Grand Conseil en 1745, Intendant de
[61] Erreur, Madame de LEPINEAU est née Marie
MOREL (T 242 Papiers d’Adélaïde-Elisabeth-Sophie Lépineau, femme de
Charles-Auguste de
[62] Il s’agit de Marie-Thérèse-Corentine de NEVET, épouse d’Antoine-François FRANQUETOT de COIGNY, Maréchal de Camp, Colonel Général des Dragons, Gouverneur de Caen et du château de Choisy.
[63] Les témoins sont François-Auguste de
[64] « Les Officiers
de l’Armée Royale » de Gilbert Bodinier, page 62, Ascension sociale des
familles qui n’ont pas obtenu les honneurs de
[65] Née à Paris le 1er mars 1755, décédée en
septembre 1806 (Annuaire de
[66] Comte de Chastellux : Notes prises à l’état civil de Paris, page 345. « Dame de Noillac » (internet : vaslo.free.fr).
[67] Obtint par Lettres Patentes du 11 septembre 1818 un
règlement d’armoiries – cf Titres, anoblissements et pairies de
[68] Fille aînée de Jean-Baptiste Louis de CLERMONT d'AMBOISE, Marquis de Reynel (Resnel) en Champagne et de Monglas, Lieutenant Général des Armées du Roy, Grand Bailly de Provins, Bailly et Gouverneur de Chaumont-en-Bassigny et d'Henriette FITZ-JAMES, fille du Maréchal de Berwick, sa première femme. Elle était veuve (8 février 1763) avec un fils (qui mourut en 1773, âgé de 18 ans, mais déjà père de la future Duchesse de MONTMORENCY) de Marie François Auguste GOUYON de MATIGNON, Comte de Gacé en Normandie, né le 1er juin 1731, Mestre de Camp au Régiment du Roy, Cavalerie, et Brigadier des Armées en 1762, mort à Paris (avant son père, le Marquis de Matignon) le 8 février 1763, à 33 ans, qu'elle avait épousé le 8 janvier 1753 (contrat du 6).
[69] Morte à Versailles le 24 juin 1840, fille de
Louis-François-Auguste, et de Henriette-Jacqueline de GRIMOUVILLE-LARCHANT
(Annuaire de
[70] Né en 1634 (Annuaire de
[71] Transmit par Madame de Brébisson.
[72] Mariage de 23 février 1709 à Maltot. Le marié se nomme
Bénédict-François GOHIER, Capitaine au Régiment de Lille, fils de Jean, et
d’Anne le LUDOIS. Les témoins sont Joseph et Jean BENARD, Julienne de
[73] Marie-Anne-Claude LACOUR de MALTOT épouse Jacques LEBER, Sieur de Senneville le 28 janvier 1692, dont : Joseph-Hippolyte, né en 1697 et marié en 1718 à Anne-Marguerite SOUMANDE. Veuf, Jacques épouse en secondes noces, à Montréal le 1er octobre 1722 Marie-Louise MIRAY de LARGENTERIE (fille d’Etienne et de Louise-Charlotte SALVAIL), dont Jeanne-Marguerite baptisée le 24 juin 1723 à Montréal, Marie-Louise baptisée le 24 septembre 1724 à Montréal, Jacques baptisé le 6 février 1728 à Montréal et Louis-Marie baptisé le 15 juin 1729 (« Les Leber en France » par James P. Lalone).
[74] Alias Valdorne (Annuaire de
[75] Second mariage de Charlotte d’HARCOURT, qui avait épousé en premières noces Robert de BAILLEUL : le Repas était un fief près de Saint-Cyr-du-Bailleul (note de Madame de Brébisson).
[76] « On attribue la construction du château du Repas,
vers 1600-1615, à Nicolas SALLET, Gentilhomme Ordinaire de
[77] Maltot appartient aux Sieurs de
[78] (B.N., fr. 32121, dossier n° 54).
[79] Peut-être s’agit-il de Françoise. Le 12 janvier 1725, à
Maltot, est baptisé Anthoine DESPREZ, fils de Pierre et de Françoise VEREL. Le
parrain est Charles-Anthoine Hélain et la marraine Françoise de